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Nathalie - Vienne, Autriche & Brescia, Italie

  • Photo du rédacteur: Admin
    Admin
  • 27 sept. 2018
  • 4 min de lecture

Dernière mise à jour : 18 oct. 2018


Bonjour, je m’appelle Nathalie. J’ai 24 ans et je suis étudiante en M2 à KEDGE BS Bordeaux.


Où es-tu partie et combien de temps ? Pourquoi avoir choisi cette destination ?

Je suis partie en stage en Autriche à Vienne pendant 3 mois, puis à la suite 1 mois en Italie à Brescia dans une ville proche de Milan.


Pourquoi es-tu partie ?

Je suis partie car je devais réaliser mon expérience à l’international qui est un requis diplômant à KEDGE BS. De plus, j’étais en année de césure, j’avais envie de voyager et de découvrir les pays/villes d’Europe que je n’avais jamais visité. Enfin, je voulais sortir de ma zone de confort et partir dans des pays où les cultures sont différentes.


Comment as-tu trouvé cette opportunité ?

J’ai trouvé des opportunités de stage super intéressantes via une association de mon école nommée AIESEC. Ces opportunités coïncidaient avec les dates auxquelles je souhaitais partir durant mon année de césure.


Peux-tu résumer rapidement en quoi consistait ton voyage ?

En Autriche, j’étais en stage à Vienne dans une start-up nommée Saturo Foods. C’est une société qui commercialise des substituts de repas en bouteilles destinés aux personnes pressées désirant garder la ligne, perdre du poids ou encore avoir un régime sportif adapté. C’est une jeune société qui a fêté ses 1 an lorsque j’étais là-bas.


En Italie, j’étais bénévole dans un lycée de la ville de Brescia. J’étais assistante de professeur de français. L’objectif était de donner envie aux étudiants Italiens d’apprendre le français et de venir en France. C’était un projet en accord avec le Sustainable Goal de l’ONU : accès à une éducation de qualité.


As-tu rencontré des difficultés lors de l’organisation et au cours de ton voyage ? Et si oui lesquelles ?

J’ai eu quelques difficultés pour trouver un stage à l’étranger. Puis je me suis tournée vers l’association AIESEC de mon école puisqu’il y avait des opportunités intéressantes. De plus, pour certain(e)s stages/expériences, il est possible que l’association fournisse un logement, les repas voire des outils de travail.


Pour moi ça a été un point non négligeable puisque j’étais à l’île de La Réunion juste avant mon départ à l’étranger et c’était compliqué de m’occuper d’une recherche de logement sachant que je ne parle ni allemand, ni italien.


Quels conseils pourrais-tu donner aux étudiants qui souhaitent partir mais qui rencontrent quelques peurs ?

Je pense que le plus dur c’est de partir seul la première fois. J’ai eu l’occasion de partir en stage à l’étranger en Afrique du Sud il y a 4 ans. Je me posais plein de questions, j’appréhendais de partir seule.


Une fois lancée par contre, c’est une aventure enrichissante sur les points de vue professionnel et personnel. Ça permet de devenir plus mature et de mieux se connaître. Je conseille aux étudiants de se préparer au mieux avant un départ en voyage (d’ailleurs ce blog donne quelques outils non-négligeables), et de se lancer malgré les peurs.


Comment ça s’est passé aux niveaux : financier, santé, culturel, sécurité, style de vie ?

Au niveau financier, les expériences que j’avais obtenu grâce à l’association AIESEC fournissaient le logement (et les repas pour ma deuxième expérience). Ce qui veut dire que je finançais uniquement le transport et mes loisirs. J’avais mis de l’argent de côté pour cela.


Pour la santé, j’étais en Europe du coup j’ai utilisé la carte Européenne lorsque j’en avais besoin, il n’y avait pas besoin d’avancer les frais.

Pour la sécurité, l’Autriche est l’un des pays les plus sécurisés au monde. En Italie je ne craignais rien et je me sentais très à l’aise.


Du point de vue culturel, j’étais en collocation avec une Mexicaine et une Danoise à Vienne et avec un Italien à Brescia, ce qui m’a permis de découvrir différentes cultures qui plus est dans des pays étrangers. Puis, je suis partie dans des pays où la langue officielle étaient des langues que je ne connaissais pas mais je n’ai pas eu peur du tout. Comme je le disais plus haut, j’aime bien sortir de ma zone de confort.


En Autriche, la plupart des gens parlent anglais même si j’avoue qu’au début j’ai eu du mal avec leur accent allemand. En Italie, ils sont réputés pour ne pas parler l’anglais, tout comme la France d’ailleurs, mais j’étais avec des amis qui parlent italien et anglais. Vu que je sortais souvent avec eux, ils faisaient la traduction.


Et si ton expérience était à refaire, sauterais-tu sur l’occasion ?

Avec joie ! J’attends avec impatience les prochains voyages. D’un point de vue personnel, j’ai beaucoup appris sur les autres, sur moi-même et aussi sur le monde en général. J’ai eu l’opportunité durant ces 4 mois de voyager à bas coût. En Autriche, je suis partie à Hallstatt, Salzburg et j’ai appris à vivre comme une Viennoise.


En Italie, j’ai visité Brescia, Milan, Venise, Florence, Bergame. Je ne suis pas partie à Rome puisque j’y suis déjà allée l’année dernière. Puis je suis allée à Bratislava en Slovaquie et à Budapest en Hongrie.


D’un point de vue professionnel, j’ai pu travailler au sein d'une start-up. C'est une culture d'entreprise différente et j'ai adoré ça. J'ai pu travailler avec des élèves de 5è à la terminale dans un lycée italien (le collège et le lycée étaient regroupés). Ça m'a fait bizarre au départ de me retrouver face à des étudiants qui sont plus grand (en taille) que moi. Mais je me suis vite habituée et je suis même devenue plus à l'aide à l'oral.


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